Ouvrages publiés par André SOLER
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Ouvrages publiés à compte d’auteur

  • PREMIER DOMICILE FIXE DU BEBE : LE GIRON
  • AFFECTIVITE
  • HUMAIN
  • LETTRE A L’ETRE

PREMIER DOMICILE FIXE DU BEBE : LE GIRON
En deçà de quelques mythes égyp­tiens : quel réel ?

De la moindre cabane à la demeure la plus cos­sue, l’humain a, sa vie durant, besoin de se sen­tir à l’abri dans un logis : sa grotte, sa mai­son, son port d’attache, son refuge. C’est son lieu de sécu­ri­té, tout comme son domi­cile d’avant sa nais­sance : le giron.
Affec­ter cette toute pre­mière demeure d’un nom spé­ci­fique – qui ne soit pas seule­ment ana­to­mique ou topo­lo­gique – n’est ni inutile ni sans conséquences…

Réfé­rence est faite à la culture de l’Egypte ancienne qui, sans le nom­mer expres­sé­ment, fai­sait grand cas du giron… Cer­tains mythes en portent témoi­gnage. Une culture en avance sur notre temps ?

AFFECTIVITE
Une brève his­toire du concept

Après avoir pui­sé dans les sources éty­mo­lo­giques, par­cou­ru les tré­sors de la langue, contem­po­rains et anciens, du fran­çais géné­ral et de quelques dis­ci­plines tenues pour « sciences humaines », il s’agit de décou­vrir pour­quoi le terme « affec­ti­vi­té » est d’apparition récente, alors que son vécu est, à l’évidence, immé­mo­rial, l’affectivité consti­tuant l’essence même de l’humain.

Cette excur­sion tem­po­relle montre que l’affectivité est frap­pée d’une sorte de relé­ga­tion, de conno­ta­tion néga­tive, bien vivace encore de nos jours.
Nous ten­te­rons de com­prendre pour­quoi l’affectivité a une odeur de soufre et pas seule­ment de souffrance.
Nous visi­te­rons les croyances qui lui sont atta­chées dans les cultures anciennes, au fon­de­ment de la nôtre, croyances influen­cées par la religion.
Il y a là une résis­tance. La psy­cha­na­lyse qui, d’ordinaire, ne boude pas le plai­sir de bou­ter la résis­tance hors de son champ, en est elle-même victime.

… A peine moins d’un siècle après l’apparition du concept dans notre langue (1865), éclot une science de l’affectivité » : l’haptonomie…

HUMAIN
L’essence et la loi

Cet ouvrage tourne autour d’une ques­tion essentielle :
A par­tir de quand l’être est-il « humain » ?
Et répond : dès la conception !

Voi­là une prise de posi­tion qui n’est pas sans sou­le­ver de ques­tions, essen­tiel­le­ment de nature éthique ; une posi­tion d’autant plus déli­cate qu’elle se trouve en déca­lage par rap­port aux lois actuelles.
Et dont les réper­cus­sions sur l’évolution de l’humain sont incommensurables…

LETTRE A L’ETRE

Après des remarques sur l’organisation gram­ma­ti­cale de notre langue, nous creu­se­rons jusqu’à ses racines, à la recherche de ce que nous pou­vons sai­sir de l’être. Nous pas­se­rons par nos pré­cieux auxi­liaires, être et avoir, et les règles de leurs accords… en appa­rence si abs­conses. Nous décou­vri­rons que c’est tou­jours en fonc­tion de l’être que se fait l’accord.
Ce sera ensuite vers les notions de sujet et d’objet que se por­te­ront nos pas : la gram­maire a bien du mal à les défi­nir ; le sujet est en rap­port avec la pré­sence, tan­dis que l’objet est en rap­port avec l’absence.
Nous tire­rons le jus de ces consi­dé­ra­tions pour notre quête de l’être.
Nous nous attar­de­rons alors à la notion de sujet dans la langue, puis en psy­cha­na­lyse, laquelle entend opé­rer direc­te­ment sur lui ! Nous cri­ti­que­rons cette grille de lecture.
Vien­dra ensuite le tour de la psychiatrie.
Nous par­vien­drons enfin à une concep­tion hap­to­no­mique de l’être et du sujet, et sur­tout aux conclu­sions qui en découlent pour l’approche des personnes.
Avec quelques vignettes rela­tives à cette cli­nique.
Enfin, sous la forme ellip­tique propre à la forme poé­tique, en alexan­drins l’ensemble sera repris.


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