Le but de cette démarche est de val­oris­er les per­son­nes et de pro­mou­voir les lieux de nais­sance respectueux des femmes, des hommes et de leurs bébés ; respectueux de leurs dimen­sions humaines, c’est à dire phys­i­ologiques, affec­tives et philosophiques. Au-delà de la sécu­rité cor­porelle de base, la sécu­rité psy­chique et affec­tive est la con­di­tion sup­plé­men­taire incon­tourn­able pour que la nais­sance reste un acte phys­i­ologique et humain, fon­da­teur et gar­di­en pour nous et nos enfants d’une dimen­sion privée et citoyenne. L’in­sécu­rité psy­chique ou affec­tive de la mère peut per­turber le proces­sus phys­i­ologique qu’est l’ac­couche­ment, et ce, pour les mêmes raisons biologiques qui font que l’in­sécu­rité psy­chique et affec­tive (le stress, l’an­goisse…) peu­vent per­turber la diges­tion, la res­pi­ra­tion, la tran­spi­ra­tion, la lac­ta­tion ou le sommeil.

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