• Pour cer­taines per­son­nes, échang­er avec d’autres par­ents et trou­ver un sou­tien moral auprès d’une asso­ci­a­tion per­me­t­tra de sur­mon­ter l’expérience difficile.
  • D’autres per­son­nes (aus­si bien hommes que femmes) peu­vent avoir besoin d’un suivi psy­chologique avec un professionnel.
  • Une expéri­ence dif­fi­cile liée à la grossesse ou à l’accouchement peut être un fac­teur de dépres­sion du post-par­tum. Épuise­ment per­ma­nent, anx­iété, irri­tabil­ité, décourage­ment, pleurs, cul­pa­bil­ité, perte de con­fi­ance en soi sont des signes d’alerte à ne pas négliger.
  • Dans les cas les plus extrêmes, cer­taines femmes souf­frent de stress post-trau­ma­tique après un accouche­ment mal vécu. Le stress post-trau­ma­tique se man­i­feste par une per­sis­tance envahissante des sou­venirs trau­ma­tiques : pleurs, cauchemars, flash­backs, angoiss­es diurnes et noc­turnes, insom­nies, com­porte­ment d’évitement…