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Réponse de Patrizia Paterlini-Bréchot


Le Directeur de Metagenex David Znaty ne peut pas échapper à ses responsabilités dans la vente irrégulière et dangereuse du test ISET Oncologie et dans l'entrave à la recherche publique française.

M. Znaty essaye, avec les Drs Zerat (propriétaires du Laboratoire Lavergne) de se soustraire à ses responsabilités.

David Znaty, CEO de Metagenex depuis mai 2006, ingénieur électronique et inexpert en matière biomédicale, a pris le pouvoir de cette compagnie en Juillet 2006, a éliminé de tout conseil scientifique le fondateur, n'a pas constitué comme prévu un conseil scientifique indépendant (alors que des experts de renom avaient déjà donné leur accord) et a activé une commercialisation active par des circuits privés du test ISET Oncologie non validé. Et ceci ayant obtenu l'accord du Conseil de Surveillance de Metagenex, c'est-à-dire des investisseurs Axa et Banexi.

Le test est actuellement vendu par le Laboratoire Lavergne 150 Euros non remboursés. En absence de validation (que j'avais indiqué comme un préalable indispensable à la commercialisation du test selon les règles scientifiques et éthiques), les oncologues ne savent pas comment utiliser les résultats et peuvent faire « le mauvais choix thérapeutique » pour les patients en les mettant en danger. D'autre part, si l'oncologue ne tient pas compte du résultat, alors la commercialisation du test sert uniquement à enrichir le Laboratoire Lavergne et Metagenex.

La commercialisation du test est d'autant plus dangereuse que le Laboratoire Lavergne, insuffisamment formé à la lecture des filtres, donne des résultats faux, comme montré par des analyses de contrôle de qualité que Metagenex m'a fait parvenir (le CEO laisse la commercialisation continuer alors que il est au courant des faux positifs).

Metagenex m'accuse de trois mensonges :

1. J'accuse Metagenex d'avoir vendu contre mon avis une machine ISET au Laboratoire Lavergne.

Je n'ai jamais accusé Metagenex d'avoir vendu une machine au Laboratoire Lavergne mais d'avoir, en accord avec Lavergne, commercialisé le test ISET Oncologie.

Les faits réels : D. Znaty en qualité de manager a pris contact en juin 2006 avec les frères Zerat pour leur vendre une machine ISET. Il m'a dit que c'était pour leur faire lire les filtres des études cliniques de validation (aide aux pathologistes) (voir documents) alors que ma démarche avait été dans le passé de développer avec la compagnie Nikon un logiciel d'analyses d'images pour aider les pathologistes (voir document). Il a utilisé les techniciennes de Metagenex (formées dans mon Unité INSERM) pour former les techniciennes du Laboratoire Lavergne (je me suis plainte car ces techniciennes étaient formées aux méthodes de diagnostique prénatal et son choix bloquait nos recherches) (voir documents). J'ai toujours dit que les machines pouvaient être vendues (pour activer les études de validation clinique) mais le test ISET ne doit pas être commercialisé avant la fin des études de validation (voir document). Or, c'est exactement ce qu'il a fait par ses accords privés avec le Laboratoire Lavergne. Les frères Zerat admettent avoir commercialisé le test ISET et de continuer à le faire. Ils affirment avoir vendu 370 tests jusqu'à maintenant (dépêche APM), donc mes accusations sont fondées.'''

Je constate que David Znaty m'a exclue de tout conseil scientifique et a menti pour arriver à ses buts de commercialisation hâtive du Laboratoire Lavergne aux patients des cliniques privées.

2. Metagenex a commercialisé le test ISET Oncologie non validé chez des sujets sans cancer

Ceci n'est pas un mensonge car D. Znaty admet d'avoir laissé commercialiser le test ISET en dépistage de cancer par Lavergne jusqu'à fin 2006 (dépêche APM). Les documents en ma possession montrent que effectivement Lavergne a utilisé le test en dépistage (des médecins sont revenus vers moi pour se plaindre de ce commerce (document)) et cette commercialisation a duré au moins jusqu'en mai 2007 car l'accueil de Lavergne disait que le laboratoire pouvait tester les sujets sans cancer (document).

3. Le Laboratoire Lavergne a des résultats faux positifs.

Ceci n'est pas un mensonge car D. Znaty et le Dr Zerat admettent avoir trouvé un taux de faux positifs de 8,6% (dépêche APM). Dans une série des tests de contrôle faits sur des filtres de l'Hôpital Necker, le Dr Zerat a trouvé 30% des faux positifs. Ces résultats ont été envoyés par Metagenex à moi et au chef de Service du laboratoire de Biochimie A de l'Hôpital Necker (document). Le Dr Zerat affirme maintenant avoir refait des tests de contrôle et avoir trouvé 8,6% de faux positifs (dépêche APM). Dans une lettre qu'il m'a envoyé en juin 2007 il a affirmé avoir trouvé 4,5% de faux positifs (document) : les chiffres bougent beaucoup chez Lavergne. La détection de cellules tumorales circulantes (CTC) chez des sujets sains correspond à des faux positifs comme démontré par le fait que dans une précédente série de 107 sujets sans cancer aucun a été trouvé avec des CTC (Vona et al Hepatology 2004) et que avec d'autres techniques le taux de sujets normaux avec cellules suspectes est de 0,5% (2/345) (Cristofanilli et al N Engl J Med 2004).

Je dénonce l'entrave de Metagenex aux travaux de recherche de l'Unité INSERM dont je suis responsable.

Metagenex a bloqué les recherches de notre Unité INSERM, y compris les recherches sur le diagnostic prénatal de la trisomie 21 financées par l'ANR (partenariat public-privé) à la hauteur de 600 KE après expertises et avis favorable d'un groupe d'experts internationaux.

D. Znaty a refusé sans raison de signer le contrat et ainsi entravé un projet phare de la recherche française.

Pour ce qui concerne les activités de recherche du Prof Cayre au sein de Metagenex, il faut dire que les analyses de pharmacogénomique qu'il essaye de développer devront également être validées avant commercialisation. Que le groupe du Prof Cayre essaye de faire des recherches sur le diagnostic prénatal de la trisomie 21, c'est légitime. Ce qui n'est pas légitime est de bloquer les recherches de notre Unité dans ce domaine de pointe.

Je rappelle à ce propos que le Professeur Cayre n'a jamais fait recherche ni publié dans le domaine des cellules tumorales circulantes ni des cellules foetales circulantes, alors que notre équipe a publié 12 articles dans ces domaines depuis plus de 10 ans (premier article : Louha et al Hepatology 1997). Je rappelle également que depuis 2002 le Prof Cayre n'a jamais publié un seul article alors que notre équipe de recherche a publié (depuis 2002) 13 articles scientifiques dans des journaux à haut facteur d'impact.

Enfin, je rappelle que l'évaluation scientifique internationale des projets scientifiques de l'équipe du Prof Cayre à conduit en 2006 à la décision suivante : « Outre les nombreuses incohérences de ce projet, il est clair que l'équipe ne possède ni la capacité ni les compétences nécessaires à mener ce projet. Avis défavorable pour financement ». L'évaluation scientifique internationale des projets scientifiques de mon équipe a conduit en 2006 à la décision suivante : « Très bonne activité antérieure et publications. Projet original – The publication list is excellent and the published papers are of very high quality. INSERM should be proud of having such a group of investigators. Avis très favorable pour financement » (documents).

D. Znaty et les Drs Zerat affirment que ma démarche est due à un conflit d'actionnaires.

Ceci est un vrai mensonge comme montré par mon accord au closing et à la Direction de M. Znaty (juillet 2006).

Ma démarche actuelle est due à l'observation que, depuis novembre 2006, M. Znaty a :

  • activé par un circuit « privé-privé » la commercialisation du test ISET Oncologie non validé contre toutes mes indications, après m'avoir exclu du conseil et évité le contrôle d'un conseil scientifique indépendant
  • bloqué les recherches de notre Unité INSERM,

Ma démarche n'est pas finalisée, comme il dit, à baisser la valeur des actions pour les acheter à bas prix. Je ne souhaite pas acheter des actions. Je souhaite que Metagenex puisse avoir une direction compétente et respectueuse de la rigueur scientifique, de l'éthique médicale et de l'avancement de la recherche française de pointe.

D'autre part, les autres actes de M. Znaty définissent le personnage : il a assigné devant le Tribunal de Grande Instance l'INSERM, moi et mon mari pour dommage à Metagenex pour 42 millions d'Euros ! Il a ensuite assigné devant le TGI les propriétaires des brevets INSERM, Université Paris 5 et AP-HP, en ma présence, réclamant que Metagenex obtienne la propriété des brevets (alors que les brevets dérivent de recherches réalisées par des laboratoires publics et les inventeurs étaient payés par les Institutions publiques).

Si, comme il accuse honteusement, je m'exprime non pas pour les patients mais pour baisser la valeur de la compagnie et racheter les actions à bas prix, alors je devrais être d'accord avec son action pour réclamer la propriété des brevets (ce serait dans mes intérêts).

Désolée, M. Znaty, pour moi la vérité et l'éthique sont plus importants que le business. Donc, je m'y oppose.

Pour ma part, j'étais médecin universitaire à l'Université de Bologne en Italie, je suis universitaire en France, j'ai dédié ma vie aux patients et à la recherche pour les patients. Tous mes livres, publications, présentations le démontrent (voir documents). Les agitations et accusations des MM. Znaty et Zerat ne me feront pas reculer d'un poil.


Commentaires

décembre 4, 2007 2:26 par 84.96.87.223

APM - Agence de Presse Médicale Service InfoAPM
SUJET : METAGENEX INSERM CANCER DIAGNOSTIC ISET IGAS AP-HP
TITRE : Affaire Metagenex/Inserm: l'AP-HP a également suspendu la signature des avenants sur les brevets

PARIS, 23 novembre 2007 (APM) - L'Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP) a également décidé de suspendre la signature des avenants permettant le transfert de brevets vers la société Metagenex sur le procédé ISET, a précisé vendredi à l'APM la direction de l'institution.

"Un médiateur a été désigné sur le dossier Metagenex le directeur général de l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps), Jean Marimbert. Il doit rencontrer l'ensemble des parties en présence d'ici la fin novembre. Dans l'attente du résultat de cette médiation, l'AP-HP a décidé de suspendre pour le moment la signature des avenants", a indiqué l'AP-HP.

C'est aussi l'attitude adoptée par l'Université de Paris V, autre copropriétaire des brevets avec l'Inserm (Inserm Transfert) et l'AP-HP, rappelle-t-on (cf dépêche APM SLKKL001).

Ces brevets sont issus des recherches de Patrizia Paterlini-Bréchot (hôpital Necker, unité Inserm U807) et portent sur le procédé Iset permettant d'isoler des cellules rarissimes dans le sang par filtration avec de possibles applications en oncologie et en diagnostic prénatal.

Le transfert de ces brevets était prévu en échange de l'apport de 2,6 millions d'euros par des investisseurs. Il doit permettre à Metagenex de commercialiser les consommables nécessaires à l'utilisation du procédé Iset.

Un conflit a émergé entre la chercheuse et les dirigeants de la société Metagenex qu'elle a créée. Elle leur reproche d'avoir commencé à commercialiser le procédé sans que les études de validation clinique nécessaires n'aient été conduites, invoquant un problème éthique et de santé publique, rappelle-t-on.

Ce transfert a été suspendu par le directeur de l'Inserm de l'époque, Christian Bréchot, invoquant des problèmes éthiques dans l'activité de Metagenex. Or la mission confiée par les ministères de la recherche et de la santé à l'Inspection générale des affaires sociales (Igas) et à l'Inspection générale de l'administration de l'éducation nationale et de la recherche (IGAENR) a recommandé dans son rapport préliminaire de "signer sans délai" cet avenant promis à Metagenex. Christian Bréchot a démissionné de son poste début octobre.

ENQUETE IGAS: LES INSPECTEURS MAINTIENNENT LEURS CONCLUSIONS

Par ailleurs, dans le cadre de cette mission Igas/IGAENR, les inspecteurs ont examiné les réponses adressées à leur rapport par Christian Bréchot et Patrizia Paterlini-Bréchot.

"Les observations générales et détaillées présentées, tant par Patrizia Paterlini-Bréchot que par Christina Bréchot, ne fournissent pas d'éléments permettant à la mission de reconsidérer sa position d'ensemble", indiquent les inspecteurs dans une réponse de six pages portée au rapport dont APM a eu copie.

Pour mémoire, dans leur rapport, les inspecteurs ont considéré que l'examen des faits ne permettait pas de soutenir la position de l'Inserm sur le non-transfert de l'avenant et ont recommandé la signature de cet avenant.

Ils ont estimé que le directeur de l'Inserm s'était exposé à une situation de conflit d'intérêts potentiel, et ont donc recommandé un transfert des parts des enfants mineurs de Christian Bréchot à sa femme, si elle le souhaite en devenant directeur de l'Inserm, Christian Bréchot s'était défait de ses parts dans la société Metagenex, fondée avec sa femme, Patrizia Paterlini-Bréchot, en 2000 pour développer les applications du procédé Iset, mais les avait cédées à leurs enfants, ndlr.

La mission a recommandé également, "s'il est encore temps, car l'intensité du conflit est grande", "la clarification de la position de la fondatrice au sein de la société par une acceptation de sa part des limites de son action telle que définie par la convention de concours scientifiques qu'elle a signée et par la reconnaissance de cet apport par la société sous la forme d'une négociation sur le montant de sa rémunération".

De plus, la mission conseille au ministère de l'enseignement et de la recherche, aux organismes de recherche et aux établissements d'enseignement supérieur de proposer systématiquement une formation à la création et à la gestion des entreprises aux chercheurs qui s'engagent dans cette voie.

La mission suggère de confier au Haut conseil de santé publique une réflexion éthique et économique sur le développement des tests biologiques ou cytologiques dans le cadre de l'extension des pratiques de diagnostic précoce et de dépistage en population.

Enfin, elle recommande au ministère de la santé d'approfondir la réflexion sur les aspects réglementaires entourant le développement et la commercialisation des dispositifs médicaux de diagnostic in vitro, en lien avec les agences nationales concernées.

Les observations transmises par Christian Bréchot et son épouse font largement référence aux avis du Comité d'éthique de l'Inserm et du Comité consultatif national d'éthique (CCNE), qui ne se sont pas prononcés sur le conflit en cours mais ont fait des recommandations générales, constatent les inspecteurs.

"Il apparaît donc audacieux de fonder une défense particulière sur des avis généraux qui impliquent une évolution des pratiques en cours et une modification réglementaire substantielle", estiment-ils.

Concernant la référence faite au code de la santé publique par Christian Bréchot et son épouse pour attirer l'attention sur une non-conformité éventuelle du dispositif Iset, la mission rappelle qu'une inspection de l'Afssaps a été diligentée en avril 2007 et qu'elle n'a pas retenu d'éléments majeurs appelant à demander le retrait du marquage CE.

Sur le grave retard causé au développement scientifique d'une invention médicale majeure invoqué par Patrizia Paterlini-Bréchot, la mission fait remarquer que l'incubation de Metagenex a été bien plus longue que la moyenne des sociétés suivies par Paris Biotech Santé, "ce qui témoigne d'une difficulté à passer à une phase de commercialisation".

ALLEGATIONS CONTRE LE LABORATOIRE LAVERGNE INFONDEES

Quant au grave risque de santé publique causé par Metagenex également invoqué par Patrizia Paterlini-Bréchot, la mission fait valoir que la responsabilité de la chercheuse dans la commercialisation du test Iset au laboratoire Lavergne (laboratoire privé parisien qui a commencé à faire ces analyses sur prescription de cancérologues et qui sont facturées aux patients en l'absence de remboursement) n'est pas exclue.

Les accusations de pratiques de dépistage portées par la chercheuse contre le laboratoire Lavergne sont "infondées", estiment les inspecteurs. Elles ne reposent que sur un cas et une mission d'inspection de la Drass d'Ile-de-France et de la Dass de Paris diligentée auprès du laboratoire Lavergne le 9 octobre indique que les notices d'utilisation ont bien été respectées par le laboratoire, que les tests s'inscrivent à 95% dans un cadre de suivi de cancer et "jamais dans le cadre de dépistage".

Les inspecteurs réfutent aussi l'incompétence supposée du laboratoire Lavergne. Ils ont revu les résultats de l'étude de validité mise en exergue par Patrizia Paterlini-Bréchot pour prouver cette incompétence. Ils ne voient dans les discordances de résultats qu'une variabilité dans l'interprétation des lames.

Au passage, les inspecteurs s'interrogent "sur le mode d'élaboration de cette étude de validité, conduite à l'automne 2006 avec le plein accord de Metagenex et de Patrizia Paterlini-Bréchot".

La chercheuse a contesté l'analyse de la mission sur les études cliniques mises en oeuvre par Metagenex. Les inspecteurs répondent que la société leur a fourni un tableau avec 12 sites pour lesquels une collaboration clinique est en cours ou programmée pour l'automne 2007. La mission a vérifié la réalité de ces contacts auprès de quatre équipes françaises qui ont toutes confirmé une collaboration.

"Le fait que Patrizia Paterlini-Bréchot indique être à l'origine ou impliquée dans plusieurs de ces études devrait être de nature à la rassurer sur la qualité des travaux en cours", ajoutent-ils. Ces études sont jugées essentielles de manière consensuelle, mais "le climat actuel n'est toutefois pas propice à leur réalisation".

"Les observations de Christian Bréchot sont marquées par plusieurs oublis et contradictions", poursuivent les inspecteurs qui rappellent les faits constitutifs du conflit d'intérêts le concernant (le fait qu'il ait mis 13 mois à se défaire de ses actions Metagenex après sa nomination à la direction de l'Inserm, pour les céder à ses enfants aux frais de l'incubateur Paris Biotech Santé; des actes signés de sa main concernant Metagenex).

"A l'évidence, les aspects financiers ne sont pas secondaires dans ce conflit et concernent nécessairement les actionnaires principaux tout comme les actionnaires minoritaires", constatent les inspecteurs.

Ils rappellent que le business plan de la société établi en 2001 alors que les familles Bréchot et Paterlini détenaient deux tiers du capital, prévoyait un marché estimé à 20 milliards de dollars et un chiffre d'affaires à cinq ans de 6 millions d'euros.

Par ailleurs, l'assignation du directeur de Metagenex, David Znaty, par Patrizia Paterlini-Bréchot devant le tribunal de commerce de Paris évalue les dommages et intérêts dus à Metagenex pour faute de gestion de David Znaty à 47,3 millions d'euros.

De son côté, l'assignation devant le tribunal de grande instance de Paris de Patrizia Paterlini-Bréchot, Christian Bréchot et Inserm Transfert par la société Metagenex évalue le préjudice subi par la société à 43,2 millions d'euros.

sl/cd/APM polsan redaction@apmnews.com
SLKKN002 23/11/2007 15:05 ACTU CANCER
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janvier 4, 2008 12:34 par 212.155.238.154

etrange cette dépeche n'a pas été reprise...


février 19, 2008 12:44 par Wiki Adm

Mais si, la dépèche est bien ici. C'est la raison pour laquelle nous avions placé des champs de commentaires au bas des articles : les internautes peuvent nous signaler d'autres articles dont nous n'avions pas connaissance. (WikiAdm)


Modif. May 17, 2009, at 02:35 PM<br />(:addThis username="xa-4b5388e32c732dfe" btn="lg-share":)

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